
La journée internationale est une nécessité, que se soit pour la femme ou l’homme, il y a tellement de choses à faire pour l’équité, à défaut de l’égalité. Pour rappel, « Selon Dagoa, l’homme et la femme devraient chercher l’équité, Ce qui est juste et équitable, tient compte des différences et des particularités de chacun ». Voir plus, l’article sur « la journée international de l’homme J + 7 »
Il est évident pour tous que la journée internationale de la femme est primordiale. Que ce soit au niveau des salaires, les femmes gagnent toujours moins que les hommes. Que ce soit au niveau de certains métiers majoritairement masculins comme l’informatique. Nous remercions des structures comme Social Builder (Voir plus) ou Descodeuses (Voir plus), pour n’en citer que quelques unes, qui veulent rééquilibrer les choses en formant les plus de femmes aux métiers de la tech. Oui, il y a encore bien des domaines pour lesquels la femme doit se battre.

Mais, beaucoup se posent la question sur la journée internationale de l’homme, Dagoa la première. Et quand elle est tombée sur un article de la dépression masculine ( voir plus, l’article sur » l’homme en détresse « ), elle a pensé tout de suite à un des objectifs de la journée internationale de l’homme « mettre en lumière les domaines dans lesquels les différences hommes-femmes les désavantagent »
Quand les familles se séparent, la femme avec les enfants sont en général avantagés, ce qui est normal. Beaucoup d’hommes commencent un parcours du combattant, pour trouver un appartement, s’ils ne perdent pas leur travail. Et s’ils réussissent à le conserver, certains peinent à payer les pensions alimentaires. Je voudrais proposer des conseils aux femmes, et si elles ne le font pas pour l’homme, qu’elles le fassent pour leur fils, qui deviendront des hommes.
Premièrement, soyez autonomes, en général les femmes ont des bonnes idées, et s’il faut les mettre en pratique, elles n’attendront personne pour le faire. Avec l’inflation, il est bien que la pression ne soit pas que sur l’homme. Deuxièmement, si vous séparez du père de vos enfants et qu’il est un bon père, s’il vous est possible de lui laisser l’appartement, laissez-lui. Il est plus facile de reloger une mère avec ses enfants, même quand elle n’est pas autonome. C’est quand mieux pour elle si elle l’est. Troisièmement, il y a des pressions inutiles qu’on peut éviter à nos garçons. Il faut juste leur en parler et leur expliquer au plus tôt. Dagoa conclut sur ce poème « mère à son fils » qui reprend le troisième conseil.