La CAN en Côte d’Ivoire peut être qualifiée d’exceptionnelle, une vraie beauté. Même ceux qui n’aiment pas le foot ont été marqués par l’évènement. C’est le cas de Dagoa. Vous le savez, elle c’est la danse et l’écriture. Mais comme ces deux garçons étaient complétement impliqués, c’est comme si elle l’avait suivie avec eux.

La beauté et la magie de cette CAN repose sur trois éléments :

Un pays motivé : Le foot et la Côte d’Ivoire, c’est une vraie histoire d’amour qui dure depuis longtemps. La FIF, fédération Ivoirienne de Football, a été créé en 1960, mais, il faudrait attendre les années 90, 1992 pour que le pays remporte sa première étoile pour la CAN. Et 23 ans plus tard, le pays obtiendra sa deuxième étoile, en 2015. Pour la CAN 2023-2024, Les ivoiriens n’étaient pas les favoris (voir plus) même si cela se déroulait chez eux. Mais un peuple qui soutient son équipe peut faire la différence, et quelle équipe…
Une équipe au moral d’acier : selon Wikipédia, « L’équipe nationale de Côte d’Ivoire est la 5e meilleure sélection africaine de tous les temps. » Avec des joueurs comme Sébastien Haller, cela se comprend. Cancer dépisté en 2022, il en triomphe et reprend les entrainements en 2023. Il marque le but qui permet à la Côte d’Ivoire d’obtenir sa troisième étoile, que dire… Se remettre dans la course alors qu’ils ont été si proches de l’élimination, il faut vraiment avoir un mental d’acier.

Des artistes de qualité, pour n’en citer que quelques-uns : Magic system, un des rares groupes africains unis depuis des années, Yemi Alade, talentueuse chanteuse Nigériane qui n’a plus rien à prouver. Et Mohamed Ramadan, acteur et rappeur égyptien. En 2017, il devient l’acteur le mieux payé du drama égyptien. Voici les quelques ingrédients d’une CAN d’exception que même les personnes qui n’aiment pas le foot ne pourront pas oublier !!!